18+ [FR] Le bracelet 1

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18+ [FR] Le bracelet 1

Postby Belianal » Thu Nov 04, 2021 3:56 am

English Greeting:

Hi everybody,

First of all, I am sorry, but it's the first time i write something about endo, so i am not familliar enough with technical english vocabulary to translate it.

Feel free to criticism my work, but remember I am on "endo" and not "vore".

If you like it, you have the permission to translate it, adapt it or wathever.


Salutations en français:

Bonjour tout le monde!

Premièrement, je suis désolé, c'est la première fois que je rédige sur le sujet de l'endo, j'aurais dû le traduire, mais mon vocabulaire technique en anglais n'est pas suffisant pour cela.

Vous êtes libre de critiquer mon travail, rappelez-vous seulement que je suis plus "endo" que "vore".

Si vous aimez cela, vous avez l'autorisation de le traduire, de l'adapter, etc.




Le bracelet - Partie 1

Elle était là, assise en tailleur, entièrement nue et me dominant de toute sa hauteur. Cependant, elle se couvrait le corps de ses bras et de ses mains, il faisait chaud, nous étions ensembles depuis tant d’années, je comprenais que ce qui la gênait n’était pas sa nudité, mais l’idée de ce qui allait se produire.
Son expression était un discret mélange d’amusement, de peur et de colère, le vert de ses yeux semblait luire dans la pénombre de la chambre et je ne pouvais m’empêcher de détailler chaque parcelle de peau, chaque partie de son corps, comme si je contemplais une représentation antique d’une déesse.

Ses longs cheveux blonds retombaient paresseusement sur ses épaules et sa poitrine, sa peau si douce m’avait toujours enivré de son odeur subtile, ses seins, aujourd’hui si généreux et tendres, son petit ventre légèrement gonflé par les nombreux petits plats que je me suis amusé à lui préparer, arborant encore les cicatrices de l’époque où elle portait mes enfants, ses hanches larges, son fessier si généreux, ses cuisses larges, ses petits pieds… Tout en elle me plaisait, mais je le voyais aujourd’hui comme jamais.

"Je ne veux pas qu’on fasse « ça »…" Me dit-elle d’une voix tremblante. Je le comprenais très bien, ce que je m’apprêtais à lui faire subir était mon truc à moi, elle n’avait jamais partagé mes goûts.

" Mon amour, depuis tout ce temps, j’ai enfin le moyen de…" Mais je ne pus finir ma phrase. A voir son visage, ma voix ne lui parvenait pas.

C’était à prévoir, lorsque j’ai réduit ma taille à dix pourcent de celle-ci, mes cordes vocales étaient devenues trop petites pour qu’une personne de taille normale puisse l’entendre. Je mimais alors ma réponse tant bien que mal.

" Juste… une… fois… S’il-te-plaît."

J’espérais qu’elle puisse voir mes mouvements correctement, je n’étais pas si petit que ça, seize ou dix-sept centimètres environs.

Elle se serra un peu plus fort de ses bras avant de répondre.

" Non, je… J’ai envie de te faire plaisir, mais… mais je ne pensais pas que « ça » pourrait arriver !"

Non, et moi non plus, lorsque j’ai trouvé ce bracelet électronique, je pensais que cela m’indiquerait mon cardio ou quelque chose du genre, pas ma taille et la possibilité de la modifier.

" Je ne t’avalerais pas ! " Dit-elle en haussant la voix subitement. Et je compris.

Je lui avais déjà parlé de ce fétiche, plusieurs fois, je lui avait révélé que je voulais me retrouver entièrement dans son ventre, sentir son amour tout autour de moi, me blottir en elle plutôt que contre elle, me sentir protégé en lui accordant toute ma confiance. Mais je n’étais pas suicidaire, un estomac n’est fait que pour une chose, et même si c’est un moyen direct d’être dans son ventre, ce n’était pas à cela que je pensais.

" Pas… la bouche." Lui mimais-je.

" Non, tu laisses mon cul tranquille aussi ! " Répondit-elle aussitôt et plutôt sèchement.

J’étais un peu vexé, mais comment lui en vouloir ? Elle n’avait jamais été amatrice de rapports anaux, j’indiquais alors son entrejambe.
" Ça ne rentrera jamais…" Dit-elle avec les yeux ronds.

Ridicule ! Nous avions fait l’amour de nombreuses fois, et j’étais actuellement plus petit que mon propre sexe ! Je lui faisais remarquer.

" Mais tu…" Elle s’interrompit, je venais de poser ma main sur sa jambe. Elle reprit. " Ok, je veux bien essayer mais... si je dis stop, c’est stop, et tu ne passes pas la tête la première, je ne tiens pas à ce que tu suffoques…"

Je souris et hochais la tête, elle se décontracta, je reculais pour lui laisser la place pour se positionner comme elle le voulait. Elle s’allongea sur le dos, les genoux relevés, je remarquais qu’elle regardait ailleurs. La situation devait la gêner plus que je ne le pensais, mais j’étais sûr de moi, et si elle n’appréciait pas, au moins, j’aurais réalisé mon fantasme et je pourrais passer à autre chose… Enfin, c’est ce que j’espérais…

Je m’approchais doucement, son odeur et ses phéromones m’emplirent les narines, je posais mes mains sur ses lèvres, je la devinais tressaillir, comme pour l’apaiser, je la caressais tendrement avant d’écarter légèrement.
Un fil reliait encore les lèvres, est-ce que ceci l’excitait quand même un peu ? Je pris son clitoris en main pour le masser, elle tressaillit encore, mais je sentis ses muscles se décontracter, une goutte de sécrétion coula à mes pieds. Je continuais de masser, de caresser, de donner des coups de langue un petit moment, avant de reculer. Je me mettais sur le dos et avançais de nouveau, doucement. Mes pieds touchèrent les lèvres, puis s’insérèrent entre elles. D’autres gouttes de cyprine perlèrent et me lubrifièrent les jambes. Mon sexe durcit à l’idée que cela lui procurait aussi de l’excitation, et qui sait, aussi du plaisir.

Je m’enfonçais encore, lentement, faisant quelques va et vient en repliant légèrement les jambes vers moi, je vis sa main s’approcher subitement avant de se crisper sur sa toison. Voulait-elle m’aider à rentrer plus vite à l’instant ? Je rentrais encore un peu pour arriver au bassin, je sentais son sexe se contracter autour de moi. Je crus que ma tête allait exploser d’excitation. Un léger vertige me prit. Ma respiration et mon pouls accélérèrent comme jamais.

" Allons, ce n’est pas le moment de faire de l’hyperventilation… encore un peu… " Me dis-je en tentant de reprendre mon calme.

Je glissais tellement que je faillis ressortir lors d’une contraction, mais je tins bon et pus pénétrer plus loin encore dès qu’elle se relâcha un peu. J’en étais au torse, je relâchais une main pour la faire glisser sur mon flanc pendant que je me repoussais encore avec l’autre.

" Fais... attention... à toi… " Me dit-elle dans un soupir haletant. Cela aurait été inaudible avec ma taille normale, mais je l’avais entendu clairement. Je pris une profonde inspiration avant de donner une dernière poussée avec ma main, j’écartais les jambes en espérant que cela me tirerait.

Il me fallut plusieurs essais durant lesquels je me sentis ressortir à cause du mouvement de ses muscles, mais une fois dedans, je pus trouver un certain appui qui me permit de remonter encore un peu plus. Mes jambes étaient repliées pour ne pas trop cogner sur le col de l’utérus. Je vis avec bonheur que les lèvres restaient légèrement écartées, permettant à l’air de circuler suffisamment.
En me collant un maximum dans le fond, je l’entendis gémir de l’intérieur. Son pouls s’était accéléré, je le savais cas j’entendais les battements de son cœur aussi clairement qu’avec un stéthoscope. Je sentais et entendais également les intestins travailler derrière moi. Son estomac émettait un grognement sourd. Ses poumons se gonflaient et se dégonflaient de manière irrégulière, c’était comme écouter une tempête depuis un salon chauffé par une cheminée. Il faisait chaud, très chaud, ma sueur se mélangeait à ses humeurs.
Ma main s’arrêta sur une paroi plus rugueuse que le reste. Jusqu’à maintenant, je n’avais pas fait attention, l’utilisant simplement pour mieux me maintenir, mais je reconnaissais bien cette zone, et j’allais faire ce que je préfère : lui donner du plaisir.

Alors que je massais la zone, ma bien-aimée gémissait, puis je l’entendis supplier.

"Non ! Je… Je ne veux pas… Tu n’as pas le droit de me faire aimer ça !"

"Oh, mon amour, tu me connais pourtant si bien. Tu sais que dire ça ne fera que me motiver…" me dis-je à moi-même, reprenant avec plus de fougue le massage.

Je voyais l’entrée se refermer, l’excitation faisait gonfler les lèvres. Je profitais de tout l’air disponible avant de devoir retenir ma respiration, je massais avec plus de vigueur.
Son corps entier semblait devenir fou. C’était une symphonie organique à la fois assourdissante et hypnotiseuse. Je me sentais danser malgré-moi, serré de toute part. Malmené à la fois par les parois, les mouvements de son bassin, le travail du colon dans mon dos.

J’étais trempé ! Non seulement recouvert du fluide de ma bien-aimée, mais aussi du mien. J’étais si exalté. Je continuais le massage d’une main et me faisais du bien de l’autre. Elle dû le sentir car elle marmonna quelque chose que je ne pus comprendre, car mes oreilles étaient écrasées contre l’intérieur son vagin.

Comment décrire ce moment autrement que par une euphorie extrême ? Une ivresse d’amour. Elle était là, tout autour de moi. Je me sentais aimé, protégé. C’était l’étreinte parfaite, quelque part entre un baiser passionné et un étau coupant le souffle. Je me sentais à sa merci, désarmé, entièrement soumis et pourtant confiant. Je la savais incapable de me faire du mal, bien que cette idée n’était pas déplaisante à cet instant.

Je me sentis très vite venir. Je pensais jouir seul puis reprendre le massage, mais au même moment, la voix de ma compagne retentit.

" Oh mon amour… Oh, mon amour ! … "

Dans un gémissement me semblant être un cri, un hurlement, je fus expulsé de mon antre alors que je jouissais. Je sentis le froid de l’air sur ma peau puis les fibres du matelas freiner ma course, à deux reprises.
Je me redressais pour admirer ma femme haleter après un orgasme qui semblait d’une puissance rare.

"Tu… Tu es fou ! … " me dit-elle en un soupir.

J’étais recouvert de fluides, de la tête aux pieds. Je me relevais, non sans douleur après avoir tant contracté mes muscles, et grimpais sur elle, sur sa poitrine pour me blottir contre elle. Elle me serra entre ses seins frais.

Je pianotais sur mon bracelet et récupérais peu à peu ma taille normale, je l’observais, le regard à la fois satisfait et pourtant encore joueur.

"  Alors, ce n’était pas si mal, hein ? " Lui demandais-je, enjoué.

" Ok, je te l’accorde… " Répondit-elle, un peu honteuse, avant de continuer " Mais je maintiens que tu es un grand malade… ".

Je lui souris, pour moi, c’était un compliment. Je pianotais à nouveau sur mon bracelet.

" Maintenant que tu y as goûté… Et si tu me montrais un peu tes fesses ? "




à suivre ?
“S'aimer, c'est avoir faim ensemble et non pas se dévorer l'un l'autre.”
Gustave Thibon
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